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I need a Mistress

Virgin submissive needs help

Ce que je souhaite vivre un jour #1
Posted:Jul 10, 2023 9:15 am
Last Updated:May 2, 2024 10:1 am
590 Views

"Monsieur ? Monsieur ?"

Je me réveille au d'une voix inconnue.
Je suis dans le salon de la femme qui m'a kidnappé la semaine dernière.
Je suis assis sur un fauteuil en cuir, équipé d'entraves en cuir qui serrent mes poignets, mes épaules, mon buste, mon cou, mon bassin, mes pieds, mes cuisses. Je peux à peine respirer et bouger ma tête.

Je suis nu, mis à part une chemise ample qui cache mon torse. C'est étrange. Une sorte de sac contractable entoure mes testicules, avec une petite ficelle et des fils électriques. D'autres fils électriques relient aussi le fauteuil à des ventouses sur mon torse, sous la chemise.

Une violente douleur achève de me réveiller. Le claquement du coup de fouet atteint mes oreilles; j'ai la cuisse gauche en feu. J'essaye de crier sous la douleur, mais un pâteux sort de ma bouche. Ma mâchoire est molle, comme si on m'avait anesthésié. Je remarque alors la seringue à moitié vide sur un plateau à côté de moi.

Celle qui s'est imposée comme ma maîtresse se tient à ma gauche, dans sa tenue de latex luisant qui me rappelle des souvenirs douloureux; Dans sa main gauche, une petite télécommande. Dans sa main droite, le fouet qui repose sur mes cuisse et remonte vers mon pénis.

"Enfin, Madame. Il ne vous appartient pas encore."
La voix que je ne connais pas est masculine. Elle vient d'un homme qui se tient face à moi, derrière une paroi de verre qui rend flou. Deux feuilles sont posées de côté sur une table de bois, avec un stylo.

"Si si, je vous assure qu'il adore ça", rétorque ma Maitresse en se penchant vers moi et en serrant mon pénis qui commence à grandir, avec un regard sadique. Je ne peux pas m'empêcher de gémir.

"Madame, je vous demanderai de vous écarter pour garantir la neutralité de cette transaction. Monsieur, je suis ici sur la demande de Madame pour assurer la signature du contrat d'appartenance totale, qui garantira que vous accepter de devenir sa propriété. Un tel contrat est essentiel pour votre relation future, et je comprend votre requête."
Je commence en réalité à peine à comprendre;
"Merci d'avoir fait appel à moi, et je suis sûr que votre Maitresse vous remerciera aussi de prendre cette initiative. Ce contrat stipule que vous accepter toute forme de domination mentale, physique et psychologique et que vous lui obéirez désormais, sans crainte de recherches ou de poursuites judiciaires. Je vois que, pour conserver l'anonymat, vous avez installé une vitre spéciale, mais il y a parmi nous un témoin fiable."
Je tourne la tête à droite et je découvre l'amie de ma Maitresse. Elle est passée plusieurs fois cette semaine pour jouer avec mon corps, me torturer et se faire lécher. Elle adore m'écarteler. Elle porte elle aussi une tenue en latex noir, un fouet est accroché à sa taille et des menottes se balancent sur ses fesses. Elle sait que je la désire malgré moi, alors elle se tient de manière sensuelle en me regardant d'un air coquin et sadique.

Ma Maitresse déclare : "Procédons"
Je la vois appuyer sur un bouton de la télécommande. Aussitôt, je sens mes entraves se resserrer doucement jusqu'à la limite de la douleur, et le sac autour de mes testicules se contracte violemment. J'essaie de hurler et il se détend. Je n'arrive pas à émettre de logique.
amie dit alors : "Je crois qu'il est un peu handicapé, il n'arrive pas à parler, mais il est conscient de ce qu'il fait. J'ai ici un appareil qui lui permettrait de se concentrer.
Elle porte sa main sous ses fesses et en retire un bâillon avec une boulle métallique, luisant de liquide transparent. L'homme en face, le notaire venant de l'extérieur ne devant pas avoir de doute sur ce qu'il se passe, la voit juste cherche quelque chose en bas de dos, et appliquer un appareil flou sur ma bouche.
Elle se penche sur moi, appuie ma tête sur ses seins pour attacher le bâillon, tandis que ma Maitresse accroupie serre violemment mon pénis et clique sur la télécommande, déclenchant des contractions violentes sur mes testicules.
Aveuglé par la douleur et totalement paralysé, je suis incapable de résister à l'entrée de la boule métallique dans ma bouche. Quand ma langue douloureuse se pose dessus, je reconnait le goût : celui de vagin. Elle a en effet passé la nuit entière à chevaucher ma tête pour me le faire mémoriser. Elle me sourit sadiquement, à quelques centimètres de ma tête, m'assomme encore avec ses seins. Elle prend la cordelette du sac des couilles que lui tend ma Maitresse et l'attache au bâillon. Je sens le sac se serrer quand je tire ma tête en arrière, j'ai de plus en plus mal. Elle repart.

"Maintenant, nous pouvons signer." Dit-il en avançant les papiers vers moi. "La feuille de gauche est pour le non, la droite, pour le oui."
Les étreintes de mes poignets s'ouvrent. En revanche, celles de mes épaules, que l'homme ne peut pas voir, se resserrent encore. la circulation de mon sang se coupe, mes bras blanchissent, mes mains tremblent violemment. Je tends la droite vers le stylo, et la gauche vers mon cou, pour essayer de desserrer la lanière de cuir. Ma Maitresse voit mon geste et attrape ma main gauche, elle la pose sans effort sur sa fesse droite et l'attache avec une nouvelle étreinte. l'homme voit ma main rester sur la fesse en cuir comme si j'en profitais, il sourit. Je peine à maintenir le stylo. Je le rapproche un peu de la feuille gauche, quand j'entend le clic de la télécommande.
Les électrodes sur mon torse s'activent. Des décharges électriques, coordonnées avec les contraction du sac testiculaire me plongent dans une douleur affreuse. J'arrive à desserrer légèrement mes couilles en baissant la tête, mais la cadence s'accélère au fur et à mesure que ma main se rapproche de la feuille gauche.
Ma langue contractée par l'électricité lèche par convulsion le liquide suave de la boule. Les doigts de ma main gauche s'enfoncent progressivement dans le latex, et je sens la chaleur de ma Maitresse qui regarde avec plaisir mon pénis tressauter selon les salves.

Je cède enfin et je reporte ma main vers la droite. L'amie de ma Maitresse m'enjambe, presse ses fesses contre mon torse et guide ma main vers la feuille. L'accord est signé. Puis elle repose ma main à l'envers sur l'accoudoir et s'assoit sur ma paume.

Le notaire sort téléphone. "Je dois avoir une preuve vidéo que vous êtes d'accord, veuillez acquieser de la tête. C'est le moment ou jamais, il faut que je montre mon désaccord.

Mais ma Maitresse me prend de vitesse. En appuyant sur le Bouton de la Douleur, elle fait resserrer mes testicules une fois de plus. Par réflexe, je baisse la tête pour desserrer la ficelle. Mais cette fois-ci, ça ne marche pas. amie empoigne mon pénis en souriant, comme si elle ne faisait que poser une main sur ma cuisse. Puis une nouvelle décharge me parcourt le corps, cette fois-ci venant de mes couilles. Mon seul membre valide est projeté en arrière : ma tête. Puis ma Maitresse répète ce programme cinq fois. Par désespoir et douleur, j'essaye à chaque fois de crier, de me démener, de desserrer le lien autour de mes testicules qui bouillonnent, malmenées par la membrane et sans cesse électrocutées. Au final, je ne fais que des "Oui" apparents de la tête.

Le notaire range ses affaires et part satisfait.
Le silence se fait, les instruments de torture se calment. Ma Maitresse retire mon bâillon et en installe un autre qui marinait lui aussi dans vagin. goût envahit ma bouche.
Enfin, je vois mes entraves s'ouvrir et glisser. Je ne sens plus mes membres. Ma Maitresse et amie me regardent, attentives, les bras croisés.
Je me décide à saisir cette occasion pour m'élancer vers la porte ouverte.

Je me dresse brusquement en m'appuyant sur les accoudoirs du fauteuil, mais je me sens comme ancré au sol. Alors que la circulation reprend dans mes jambes meurtries, je me rend compte que mes pieds sont toujours attachés au sol par des lanières et une chaîne. Je me rattrape en posant mes mains sur la paroi en verre. Je sens des gants les empoigner rapidement et y attacher des menottes, menottes elles aussi attachées au plafond.
Une laisse est passée à mon cou. Ma Maitresse me susurre à l'oreille : "maintenant, on va s'amuser..." et tire la laisse. Seul mon bassin est libre. J'entends amie dégager la table de l'autre côté de la vitre, puis je la sens passer une corde autour de mon bassin et derrière l'orifice. Elle la tend, et mon bassin est propulsé au niveau du trou par lequel mon pénis et mes testicules passent.

Ma Maitresse tire encore la laisse et commence à me fouetter. De temps à autres, elle active le programme qui fait vivre un enfer à mes parties sensibles. Pendant se temps, amie me trait avec violence. La plupart du temps, elle le frotte méthodiquement et tire vers elle mon visage (nous dépassons la vitre au niveau du cou) pour me mordre les lèvres ou le frapper avec ses seins. Quand elle sent le sperme chaud monter et qu'elle m'entend gémir sous l'effet de la douleur et du plaisir, elle coince mon pénis entre ses deux cuisses et serre jusqu'à-ce que je hurle derrière mon bâillon.
Une fois, j'ai perdu connaissance. J'ai été ravivé par une décharge violence, elle a coincé mon pénis entre les deux parois de latex autour de ses fesses, et s'est appuyée brusquement sur la vitre. Le muscle s'est tendu parallèlement à mon corps et ma convulsion a été phénoménale.
Après une demi-heure de travail, ma Maitresse a empoigné mes couilles et m'a fait me vider sur les fesses de amie.

Puis elles m'ont allongé sur leur "lit d'hôpital", en réalité une table en métal avec un carcan pour mon bassin, ma tête, mes pieds, ainsi que différents emplacements pour des menottes. Ma Maitresse a installé une cage de chasteté sur moi, puisque je lui appartiens désormais, apparemment de mon plein gré. Elle m'a poussé vers ma cage où je dormirai, et a laissé amie s'amuser avec moi.

Elle m'a fait lécher tout le sperme qui avait sali sa tenue, puis elle s'est assise sur ma tête pour m'étouffer et me désorienter. En attachant mes mains sur sa poitrine, elle s'est redressée un peu pour me laisser terminer mon travail. Elle a alors saisi ma langue entre ses deux doigts et a ouvert la fermeture éclair de sa tenue au niveau de ma tête pour y fourrer ma langue. Puis elle s'est rassise et j'ai reconnu le goût de vagin. Elle m'a forcé a lui malaxer les seins et à la lécher jusqu'à ce que je bande derrière ma cage de chasteté, puis, une fois qu'elle eut joui, elle m'a accordé quelques coups de fouets et m'a laissé dans le noir, perdu, endolori, frustré.
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J'imagine notre première rencontre
Posted:May 31, 2023 12:10 pm
Last Updated:May 2, 2024 10:1 am
1115 Views

Je suis à l'hôpital, devant une infirmière qui doit m'injecter une dose de rappel de vaccin. Pour me moquer d'elle, je lui dis qu'elle ne me fait pas peur du tout.
Elle me regarde bizarrement et déclare "on verra ça". Elle part un instant et revient avec une nouvelle aiguille, et l'injecte rapidement dans mon bras.
Ma vision se voile progressivement et je vois regard féroce. Je sens que je vais payer cher ce commentaire.

"Clic"
Je me réveille en essayant de comprendre où je suis.
Je n'arrive pas à parler sous l'effet de la drogue. J'essaie de relever mon cou mais un bandeau de cuir le retient à une sorte de table d'opération. Idem pour mes bras en croix, entourés par des ceintures à intervalles réguliers.
Je baisse la tête tant bien que mal et je regarde vers mes pieds.
Je vois le dos de l'infirmière de tout à l'heure, mais ce n'est plus la même. Elle porte une tenue de latex moulant intimidante. Un fouet est attaché à sa hanche droite. Elle porte aussi des gants en latex.
Je me rends alors compte que je suis nu. Elle est assise sur mon torse en chevauchement, et je suis totalement impuissant : je ne peux pas relever mon buste à cause de poids, et mes jambes ont aussi des ceintures de cuir les liant à la table, même si je ne peux pas les voir.
La seule chose qui peut encore bouger est donc... mon pénis. Enfin, pendant quelques secondes, car je me rends compte avec horreur qu'elle est en train de prendre une totale possession de mon intimité.
Ses mains serrées autour de ma verge et de mes testicules, elle y installe un dispositif de chasteté en métal.
"Clac"
Il se referme, elle sort la clé du cadenas et se retourne vers moi.

"Ah ! tu es réveillé."
Elle se lève et croise les bras.
"Tu vas apprendre la peur"
Je gémis, j'essaie d'articuler, de me débattre. Je soulève un peu mon buste, mais ça ne m'avance pas loin.
Elle le voit, sourit sadiquement et dit "chuuuut. Tout va bien se passer" en s'approchant vers moi. Elle enjambe ma tête et s'y assoit. Elle se penche en avant et installe trois autres ceintures autour de mon torse.
"Maintenant, tu te tiendras tranquille"

Elle se redresse. Le noir m'envahit. Je sens mon visage s'enfoncer dans ses fesses et j'étouffe à petit feu. Au bout d'une minute, elle plie ses jambes jusqu'à la table, coince ma tête entre ses talons et commence à rebondir dessus rapidement. Les chocs m'assomment mais je respire tant bien que mal.

Elle se relève et me regarde : "ça te plaît ?"
Je souffle un "non" rauque.
Ca n'a pas l'air de la déranger, au contraire. "Et je te plais ?"
"non"
Un sourire sadique se profile sur visage. Elle attache ses cheveux et dit "alors tu vas apprendre à m'adorer comme ta maitresse"

A nouveau, elle m'enjambe, cette fois-ci mes bras coincés entre ses jambes, et ses talons évidemment autour de ma tête.
Dans le noir, je la sens s'affairer au-dessus de moi.
Puis elle utilise des cordes pour serrer violemment mes bras en-dessous de l'épaule. Je sens la circulation se couper et mes bras faiblissent.
Elle les détache doucement un par un, en tirant mes mains vers sa poitrine. Dans le court instant où elle m'avait laissé tranquille, elle avait installé des menottes dans les encoches de sa tenue.
Je ne sais pas ce qu'elle compte faire de mes mains faibles et tremblantes là-haut.

Elle les saisis soudain et les presse contre ses seins.
En même temps, elle ondule sensuellement sur mon visage.
Elle fait glisser méthodiquement mes mains le long de corps, en détache une parfois pour me faire admirer toutes ses formes derrière la paroi de latex.
J'oublie mon corps meurtri et je ne sens qu'elle autour de moi, sur moi.
Mon sang se réchauffe sous cette domination sadique et sensuelle et je commence à ressentir une douleur croissante sur mes parties sensibles, enflées mais incapables de respirer derrière les tiges de métal.

Je ne peux pas résister au désir. Elle sait très bien comment m'utiliser, comment je fonctionne. Désormais la cage de chasteté tressaute. J'essaie d'écarter mes mains coupées de sang pour ne plus abriter un désir si douloureux mais elle resserre emprise avec ardeur : ses bras sur les miens, mes mains entre les siennes et sa poitrine de latex, ma tête entre ses cuisses et ses pieds.

Alors que je commence à la supplier, elle se relève satisfaite et raccroche mes mains à leur place.
"Alors, tu m'adores ?"
"Ou-oui"
Elle sourit et décroche fouet.
"Je te fixe les règles. C'est "oui, maitresse", compris ?"
"oui"
Le coup de fouet est fulgurant et je hurle de douleur. Je répète en gémissant "oui, maitresse..."
"Très bien"
Elle regarde mes parties sensibles derrière leur cage. J'ai l'impression qu'elles vont exploser.
"Maintenant, en signe de ta soumission, tu vas me dire un secret que personne d'autre ne sait"
J'hésite. Je refuse de la tête car je ne pense pas pouvoir la satisfaire.

"Alors je saurai t'imposer ma loi par la force"
Elle m'installe une muselière et commence désormais une séance de torture assez simple : elle resserre petit à petit les liens de mes pieds, de mes mains, de mon cou jusqu'à ce que je ne ressente plus que la douleur à ces endroits précis.
Elle me fouette partout et vise surtout mon buste à défaut de mes parties intimes derrière leur cage. Elle exploite leur douleur en faisant naître le désir à intervalles réguliers en me forçant à la toucher, à la caresser, ou en s'asseyant sur moi. Elle pose aussi de manière érotique, en montrant sa silhouette, et rit quand je gémis de douleur dans la muselière : mes testicules sont violettes, gonflées, la peau est imprimée dans les barreaux. Quand je ferme les yeux pour ne plus la voir, le fouet me rappelle à l'ordre, accompagné de quelques insultes.

Au bout d'un certain moment, ma seule envie est de me rouler en boule et gémir. Je ne peux faire ni l'un ni l'autre. J'attire attention en gémissant et elle s'assoit sur moi en écrasant la cage de chasteté, en continuant à me fouetter. Au milieu des gémissements, j'articule ce secret qui me rend si vulnérable : "Je suis vierge"

Un sourire sadique parcourt visage. Je me rends compte à quel point mon erreur a été grave. "Désormais, tu m'appartiens. Tu n'as jamais appartenu à personne d'autre. Ton sort dépend de mes désirs."

Rapidement, elle se relève et pose un flacon près de mes hanches.
Elle ouvre le dispositif de chasteté et attrape mes testicules et mon pénis vibrant.
Avec violence, elle commence à me traire en pressant mes testicules pour ne pas me donner de plaisir. Lorsqu'elle sent que le sperme monte, elle attache une ficelle autour d'elles et la serre : je hurle de douleur en éjaculant dans le flacon.

Dés que mon pénis se détend, elle remet la cage et part sans un mot. Elle revient avec une seringue et me murmure "Maintenant, on va s'amuser"
Je réponds "oui, Maitresse" et je sombre dans le noir encore une fois.

Ma Maitresse a entrepris de nombreux jeux avec moi. Parfois, elle est policière et moi prisonnier qu'on interroge avec des punitions sur chaise électrique. Parfois elle est professeure et m'apprend code, ses règles, ses fantasmes et comment les satisfaire. Quand j'apprends mal, je suis puni, évidemment. Parfois elle est médecin et examine l'animal que je suis. Elle sait mener toutes sortes d'expérimentations douloureuses.
En bref, je suis attaché, immobilisé, enfermé, aveuglé, bâillonné, écartelé, fouetté, battu, insulté, dégradé, traîné en laisse, drogué, étranglé et étouffé, excité et restreint à la fois.
Elle me trait quand cela lui plait. Elle sait que quand j'éjacule plusieurs fois en une courte durée, j'ai mal aux testicules de plus en plus. Alors j'ai déjà passé des nuits attaché à la table d'opération, une machine autour des parties, tandis qu'elle déployait tous ses artifices pour me forcer à l'excitation et me vider sadiquement de mes fluides corporels tout comme de mes forces vitales.

J'ai appris à l'adorer sous toutes ses formes de domination, en uniforme, en tenue de ville, et surtout dans habit de latex qui a marqué mon esprit. Elle m'a tellement drogué que je ne sais plus si je l'ai déjà vue en lingerie.
Oui... sûrement... j'ai même peur que ce jour-là elle n'ai pris possession de moi totalement... je crois qu'elle me chevauchait comme un cheval, avec férocité, fouet actif et fulgurant... je me rappelle de ce regard qui mêlait mépris, satisfaction, sadisme et plaisir qui absorbait le mien, impuissant, alors que je me vidait totalement en elle...

Je sais désormais à quoi sont dédiées chaque partie de mon corps.
Ma tête est siège. Elle utilise parfois ma langue pour beaucoup de choses dont elle a le secret.
Mes jambes ne sont là que pour être liées ou écartelées.
Mes cuisses, pour être fouettées.
Mon cou, mes bras, resserrés à l'extrême.
Mes testicules, ses deux petits jouets qui méritent d'être attachés, pressés ou malmenés constamment.
Mon pénis est objet d'étude. Elle utilise toujours différent outils pour l'utiliser.
Mes parties intimes sont, dans l'ensemble, la clé qu'elle utilise pour me vider de toute résistance, dans la douleur ou le plaisir.
Mes mains sont là pour adorer corps, la servir elle et plaisir. Rien d'autre. Toute autre utilisation reçoit des coups de fouet.

Elle fait bien attention à ce que je ne voie qu'elle, que je n'entende qu'elle, que je ne sente qu'elle. Elle joue parfois à presser sa peau nue contre la mienne, comme quand elle s'assoit sur mon visage. Mon désir est alors au summum et je reçois toutes les punitions que je mérite.

Alors, vous en dites quoi ?
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Je cherche une maîtresse
Posted:May 25, 2023 12:32 pm
Last Updated:Sep 24, 2023 2:00 am
1214 Views
je me présente : jeune soumis inexpérimenté qui a besoin qu'on le violente avec sadisme.
Je n'ai jamais eu de maîtresse jusqu'ici car le BDSM est une expérience toute nouvelle pour moi. Cependant je sais ce que je veux et je pense être capable de faire le plaisir d'une femme dominante.
Mon plaisir serait de souffrir, d'être attaché, immobilisé, de me débattre impuissant à la vue de ma tortionnaire s'apprétant à me torturer, à prendre possession de mon corps. Je veux être brisé, que ma résistance physique et morale ne soit qu'un jouet pour la démone qui tiendra ma laisse.
(Bien que je mentionne une résistance dans ce message, je me livrerai totalement lors des séances et ne me débattrai que sur la demande de ma Maitresse. Ma soumission est réelle et totale)

Bref, s'il y a une dominatrice sur Paris cherchant un jouet vigoureux et énergique, n'hésitez pas à me contacter sur ce blog ! Ce serait un honneur de discuter avec vous sur cette passion et mon engagement de soumis à vos pieds.

Evidemment, je pense que cette expérience doit être réelle et que nos premières discussions devraient se faire autour d'un café (que je paierai bien sûr) pour nous connaître mieux, construire un lien de confiance et avancer vers le déploiement de nos fantasmes.

Votre dévoué serviteur
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First post
Posted:May 8, 2023 11:36 am
Last Updated:May 2, 2024 10:1 am
937 Views

I am new in the BDSM experience and on this platform. I don't want to buy premium so I can't contact any Mistress as I would want to.
BDSM is a lifestyle which I have always been curious about.
Being French doesn't help since the French community seems to have trouble communicating.

Creating this blog would help me discover more about this experience and contact a first Mistress, I think.
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