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soumise

Informations et plaisirs...

Que de perte de temps....
Posted:Apr 7, 2014 11:28 am
Last Updated:Apr 15, 2014 11:22 am
9822 Views

Il est dommage de constater qu'il y a énormément de perte de temps sur ce site. Très peu de communication, d'échanges, de résultats.

Étant un Maître expérimenté et très apprécié de ses soumises, je remarque que trop peu de soumises s'abonnent et vont plus loin que leur ordinateur. Je n'aime pas les biens en chaires alors vous pouvez imaginer que le choix est extrêmement restreints.

Elles veulent, mais elles ont peurs, elles ne s'assument pas, elles n'osent pas. ce qui fait que le résultat versus les efforts est extrêmement décevant pour les Dom, les Maîtres d'ici. Le pire est qu'on ne se rend même pas à une discussion plus détaillée, ni même une photo. Sans compter ces fraudes à répétition (faux profil).

Depuis quelques temps, je publie quelques textes de mon cru pour me rendre compte qu'ils sont lus par des hommes en majorité ou quelques soumises, qui pour la plupart, ne réside pas dans ce pays. À quoi bon!!!

Je suis un Maître recherchant une soumise (mince ou normal) et non des mâles bordel!!! Mais les soumises qui sont en grandes majorité 'membres réguliers', ne peuvent ni lire les blogs, ni lire les profils, ni communiquer par messages.

J'aimerais entendre vos cas, vos expériences. Peut-être que je ne connais pas assez bien ce site, peut-être....
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Qu'est-ce que le subspace?
Posted:Apr 4, 2014 11:25 am
Last Updated:Apr 22, 2014 10:23 am
10412 Views
Ce texte est long, j'en conviens, mais il répond clairement à la question.

• Le subspace est un état de conscience modifié, qui fluctue entre l’état conscient et inconscient.
Un monde entre l’esprit et le corps, un monde de pures sensations, d’émotions et de profonds échanges d’énergie, une "traversée" dans laquelle la pensée logique et le raisonnement n’ont plus leurs places. Le Maître est là pour guider la soumise dans ce "voyage".

• Certaines soumises s’immergent dans les sensations à tel point qu’elles perdent la notion du temps, de leur propre identité et de leur environnement. Plus le subspace est profond, plus cette altération est importante. La soumise en subspace n’a plus la moindre idée du temps écoulé. Un cocktail chimique se déclenche dans le corps. Les endorphines, la dopamine, l’adrénaline et d’autres substances se précipitent dans le cerveau et modifient l’état de conscience sous l’influence de la douleur. Ce cocktail peut rester actif durant 2 à 3 jours produisant une certaine euphorie, ensuite la métabolisation s’est faite et les effets euphoriques s’évanouissent.

- Les Quatre niveaux de subspace.

• Space haut : La soumise est en perte de contrôle. Le Maître agit comme bon lui plait.

• Space marginal bas : Ce space se produit quand le Maître dirige l’attention de la soumise. Ceci peut se produire aussi délicatement qu’un regard, un contact léger, un petit bruit ou n’importe quelle combinaison de ces derniers. La soumise est en continuelle attention, souvent par le regard ou l’audition de la prochaine commande venant de Maître. Aux prochains niveaux la soumise est incapable de transmission, d’articuler des simples mots, étourdie.

• Space blond : Dans cet état, le Q.I. de la soumise tend à diminuer progressivement, mais revient à la normale à la fin de la séance. Elle se sent devenir plus lente mentalement. À ce moment la soumise ne peut pas distinguer le danger, incapable d’utiliser un veto car il lui est devenu incompréhensible. Encore une autre raison pour laquelle la confiance du Maître est essentielle. La soumise ne peut pas penser pour elle-même, incapable de décider si elle en a assez, s’il est temps d’arrêter. C’est dans cette situation que le Maître devra utiliser jugement.

• Space principal : Parfois les Maîtres pénètrent dans cet état ou la soumise perd sa nature. À ce niveau, la volonté de la soumise tend à reprendre un comportement normal, sorte de réaction chimique et émotionnelle. Le Maître se permet d’aller ou bon lui semble. Expérimenté et sur de lui, c’est à ce prix qu’il peut se le permette.

La parole ne vient plus par des mots compréhensibles mais par grognements comme des tonalités et des bruits. La soumise se connecte sur le langage primitif du corps, devenant une prédatrice, se soumettant à peine. Si la soumise sent la faiblesse, tout comme un félin en panique, elle essaie de se libérer du Maître.

La soumise peut connaître un degré variable de ces niveaux tout en éprouvant le subspace, mais elles seront toutes d’accord pour dire que c’est une sensation merveilleuse, de flotter et de se trouver dans un plaisir constant. Le subspace tend à intensifier les sens. En raison de ce plaisir, la soumise sera à la recherche d’un état plus profond, suppliant souvent Maître de les envoyer plus loin.


Que se passe-t-il biologiquement :

Endorphines ou endomorphines : Sont des composés opioïdes peptidiques endogènes. Elles sont secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus lors d'activité physique intense, excitation, douleur, et orgasme. Elles ressemblent aux opiacés par leur capacité analgésique à procurer une sensation de bien-être.

• Durant cet état de subspace, la soumise n’arrive parfois même plus à s’exprimer de manière compréhensible. Elle est dans un état de transe, déconnectée de la réalité, incapable de distinguer le danger. Si vous lui posez une question, elle aura le plus grand mal à répondre d’une façon logique car elle souffre à ce moment précis d’une forme d’amnésie qui dissocie ses souvenirs.

• Lorsque vous observez une soumise en subspace, elle semble hébétée, les yeux fixes, élocution est très lente et laborieuse, voire impossible, ses gestes d’une extrême lenteur. Comme quelqu’un ayant subi un choc ou sous l’emprise d’une drogue. Dans ce cas, le subspace peut être considéré comme un état dissocié. Tout ou partie des émotions sont dissociés de la conscience. Les sensations ressenties par la soumise deviennent purement du plaisir et n’importe quelle douleur infligée est alors transférée à cerveau comme étant du plaisir.

• La méthode la plus souvent utilisée pour guider la soumise jusqu’au subspace est d’infliger une douleur progressive, comme celle du fouet progressif, pour permettre aux endorphines de transformer la douleur en plaisir. L’intensité des coups sera alors augmentée progressivement pour garder le seuil de plaisir. La progression des coups s’obtient par la diversité des instruments utilisés en partant de martinet, battoir, pour terminer optionnellement avec une cravache ordinaire, une canne ou une cravache à fil.

• Généralement, il faut du temps et de l’expérience pour que la soumise puisse s’abandonner et atteindre le subspace. Pour cette raison la confiance établie entre le Maitre et sa soumise est primordiale ! Les soumises peuvent connaître un degré variable de subspace, mais elles seront toutes d’accord pour dire que c’est une sensation merveilleuse, de flotter et de se trouver dans un plaisir constant.

• Le phénomène d’addiction existe comme pour toutes les drogues et en raison de ce plaisir, les soumises seront à la recherche d’un état de plus en plus profond, suppliant souvent leurs Maîtres de les envoyer toujours plus loin.

Je le répète, cet état de la soumise n'est possible que si elle se sent en sécurité et en confiance. Impossible autrement! Parce qu’un Maître fait toujours preuve de jugement, contrôle et calme, seul LUI peut emmener sa soumise à un tel niveau.
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Bien en chaires...
Posted:Apr 1, 2014 2:45 pm
Last Updated:Apr 5, 2014 8:04 am
10185 Views

Nous savons tous que les soumises sont soient pauvres, riches, blanches, noirs, grandes, petites, instruites ou pas, jeune, plus âgées, ou....bien en chaires.

Autrement dit, elles viennent de tous les milieux. Ce sont souvent des soumises qui ont à prendre des décisions dans leur vie professionnelle. Elles aiment l'idée de n'avoir aucune décision à prendre dans la soumission.

Elles fantasment à l'idée d'êtres utilisées comme des objets. D'êtres prisent et servir comme bon nous semble. Cependant, je trouve que les biens en chair sont surreprésentés, je m'explique;

Dans certains pays d'Europe, le BDSM est mieux accepté, mieux vécu et mieux représenté qu'ici. Les soumises minces et plus jeunes s'affichent davantage, se connaissent bien, s'acceptent et s'assument.

Ici, ce n'est pas encore le cas. Bien sûr, certaines jeunes et minces soumises s'affichent de plus en plus, mais ce n'est pas encore la panacée.

Le plus souvent, il s'agit de la soumise grasse, grosse ou bien en chaire comme elles disent qui s'affiches le plus. Je leur souhaite bonne chance, mais ce n'est pas ce que je recherche, elles ne m'inspirent aucunement.

Je ne dis pas qu'elles sont laides ou inintéressantes, mais disons-le franchement: elles sont moins attrayantes et trop faciles à soumettre, ce qui m'éteins complètement.

Soumises minces et trentenaires, affichez-vous!
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Par mes liens...
Posted:Mar 24, 2014 8:11 pm
Last Updated:Apr 4, 2014 12:06 pm
10182 Views
Par mes mains, tu ressentiras
Par mes liens, ton plaisir augmenteras
Par mes mains, ma puissance tu recevras
Par mes liens, tu écarteras
Par mes mains, tu mouilleras
Par mes liens, tu dilateras
Par mes mains, ta peau rougira
Par mes liens, tu éclabousseras
Par mes mains, tu exploseras
Par mes liens, tu te libéreras

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À ta santé...
Posted:Mar 23, 2014 10:04 am
Last Updated:May 16, 2024 2:58 am
10066 Views

Les personnes qui se livrent à des pratiques sexuelles relativement perverses, impliquant des choses telles que le bondage et le sadomasochisme, pourraient être en meilleure santé mentale que celles qui ne les pratiquent pas, selon une nouvelle étude. Il est donc temps de (res)sortir fouets et menottes.

BDSM est un terme générique qui relie principalement Bondage et Discipline (B & D) avec le Sadisme et le Masochisme (S & M). La culture du BDSM, cependant, ne se limite pas à ces choses et inclut souvent les amateurs de latex, les fétichistes et d’autres types d’excentricité.

Fait intéressant, le BDSM est répertorié dans la dernière édition (5ème) du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), qui est souvent appelé "la bible du psychiatre." Le manuel ne liste pas le BDSM comme un trouble, et se réfère plutôt à la pratique comme une paraphilie ou fixation sexuelle inhabituelle.

De toute façon, les études n’ont pas réussi à lier le BDSM et d’autres déviances légères avec des problèmes psychologiques, de sorte que certains psychiatres voient leur inclusion dans le manuel comme stigmatisante.

Dans la nouvelle étude, publiée récemment (lien plus bas), les chercheurs disposaient de 902 personnes pratiquant le BDSM et de 434 non-BDSM ou à la sexualité vanille (comportement sexuel conventionnel), ils devaient répondre à des questionnaires. Ils n’ont pas dit aux participants le vrai but de l’enquête, qui leur a demandé de répondre à de nombreuses questions sur leur personnalité, la sensibilité au rejet, le style d’attachement dans les relations et le bien-être.

Les “BDSM”, qui jouaient souvent un rôle dominant dans les actes sexuels, ont obtenu les meilleurs scores dans tous les domaines, comparativement aux soumis et aux personnes qui errent entre les rôles dominants et soumis. Mais même les soumis, qui ont fait le plus faible score de ces trois groupes, obtenaient fréquemment des résultats plus élevés que les participants à la sexualité vanille sur les enquêtes de la santé mentale (et jamais plus bas).

Donc, ses nouveaux résultats montrent que sur un niveau de base, les pratiquants du BDSM ne semblent pas être plus troublés que la population générale. Ils étaient plus extravertis, plus ouverts aux nouvelles expériences et plus consciencieux que les participants à la sexualité vanille; ils étaient également moins névrosés, un trait de personnalité marqué par l’anxiété. Les amoureux du BDSM ont également obtenu des scores plus faibles que le grand public sur la sensibilité au rejet, une mesure de la façon dont les personnes sont paranoïaques au sujet des sentiments que peuvent éprouver les autres envers eux. Les chercheurs ont constaté que les “BDSM” ont montré des niveaux plus élevés de bien-être dans les deux dernières semaines, que les personnes extérieures à ces pratiques et qu’ils ont exprimé des sentiments d’attachement plus surs dans leurs relations.

Les chercheurs ne savent pas encore pourquoi les BDSM semblent être psychologiquement en meilleur santé que le reste de la population, mais ils suggèrent que cela pourrait à voir avec le fait d’être plus conscients de leurs besoins et de leurs désirs sexuels, ce qui conduit à moins de frustration globale dans leurs relations physiques et émotionnelles.

L’étude publiée dans The Journal of Sexual Medicine : Psychological Characteristics of BDSM Practitioners.
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